La coutellerie Charles Canon fabrique des couteaux avec des manches en charbon,
Il fut un temps où les terrils fournissaient la moitié du charbon de notre pays durant 3 siècles. Aujourd’hui, le bassin minier inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO abrite des espaces de promenades et de nombreuses activités sportives.
Emblèmes de cette histoire et de notre département, les terrils se sont formés en écho aux mines et grâce aux mineurs, en effet ce sont les résidus, des déchets miniers, que les mineurs laissaient sur place, et qui au fil du temps ont fini par devenir ces immenses collines, ces fameuses Pyramides noires.
C’est pourtant du haut des terrils, à l’air libre et en surplomb, qu’on appréciera peut-être le mieux, aujourd’hui, le paysage minier et son histoire.
La mine nous fait immédiatement penser à la vie sous terre des mineurs, aux fameux coups de grisou à cette vie d’ombre et de souterrains mais aussi aux visages noircis des mineurs de fond.
Les mineurs commençaient à travailler très tôt, parfois dès l’âge de huit ans. Ils n’allaient pas à l’école et ne savaient ni lire ni écrire. Ils pouvaient venir du Maghreb comme de l’Europe de l’Est.
Leur travail consistait à extraire le charbon des mines que l’on pouvait appeler l’or noir.
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